LES COURS DE KICKBOXING

L’entraînement au kickboxing

 

Première partie :
Échauffement-cardio (15 min)

– Mouvement des articulations.

– Début du travail cardiovasculaire afin d’augmenter la température du corps et le préparer à un travail plus intense. Exemple : jogging, shadow boxing, déplacements de combat (jeux de jambes), corde à danser, etc.

– Échauffement dynamique : Kihon kumite.

Le kihon kumite se définit comme l’ensemble des techniques utilisées en kickboxing. Il y a le kihon kumite des poings : jab, direct, crochet, upper, coup de coude. Il y a celui des pieds : coup de genou, coup de pied devant, de côté, circulaire, arrière, etc. Enfin, le kihon kimute des blocages/esquives : catch, wall, bob, wave, etc.

Ces mouvements sont généralement pratiqués dans le vide, à vitesse et à intensité réduite (environ 70%). Cela permet de préparer nos articulations, ligaments et muscles à aborder par la suite un travail plus intense avec ou sans impact. Aussi, cet aspect ne doit pas être négligé, le kihon kumite permet d’habituer notre corps aux différents mouvements de kickboxing, nous pouvons appeler cela assimilation du mouvement. En effet, l’exécution d’un mouvement à vitesse réduite permet à notre cerveau d’enregistrer le mouvement et de perfectionner son exécution au fur et à mesure des répétitions.

À la fin de cette partie, nous pouvons passer à un travail plus dynamique et intense, sans crainte de se blesser.

Deuxième partie :
Techniques et torture!

– La partie Technique

Travail des pieds et/ou pieds sur sac de frappes, sur bouclier (coussin de frappe) ou sur focus cloves (gants de précision), travail d’esquives ou de blocages 2×2, différents déplacements de combat avec enchaînements, etc. Une fois que l’instructeur a donné les explications, on s’exécute. Un temps (round) est déterminé : 1 min, 2 min, etc. Et, go! Durant ce temps, l’instructeur circule pour corriger la technique de chacun et apporter, s’il y a lieu, des ajustements. En général, deux techniques différentes sont travaillées durant cette partie du cours. Voici quelques exemples. On peut se concentrer sur une technique particulière, comme le jab ou le front kick de la jambe avant. Soit travailler une combinaison 2×2 : wave (esquive) sur attaque de crochet, suivit d’une contre-attaque : crochet + coup de genou. Ou encore exécuter un déplacement : jab, pas chassé + coup de pied circulaire de la jambe devant.

En plus de bien démontrer et expliquer la technique, l’instructeur s’assure toujours de faire le lien avec la réalité, appliquer la technique en situation réel, face à un agresseur ou un adversaire.

C’est justement grâce à l’entendu des techniques et des combinaisons possibles en kickboxing qui fait que nos cours ne sont jamais répétitifs et ennuyants. Tout en s’entraînant, nous développons nos moyens de défense, nous améliorons notre coordination, notre concentration, etc. Apprendre en s’entraînant. Quoi de mieux! Nous sommes loin des gestes répétitifs et ennuyeux que nous voyons dans les gym.

La torture : les intervalles fractionnés

Tout au long de l’entraînement au kickboxing, des pauses sont insérées ici et là. Lorsque nous changeons de jambes ou de partenaire, par exemple, à la fin d’un round. Ou lorsque le professeur juge que l’intensité du cours descend trop. Quoi? Et oui, nous parlons de pause, non dans le sens d’aller boire de l’eau, mais plutôt dans le sens « c’est le temps d’ouvrir la machine! ». Interval training, body weights, sprints de séries de punchs ou de kicks, abdo/core, exercices de mobilité et de résistance, etc. Bref, il n’y a de limite que l’imagination de l’instructeur. Le niveau d’intensité varie selon ce qui est demandé et, évidemment, chacun y va à son rythme et fait ce qu’il peut. Le travail de l’instructeur ici est de s’ajuster selon le feed-back du groupe pour que tous aient le sentiment de s’être dépassés. Il n’est pas rare aussi de voir l’instructeur taper sur l’épaule de quelqu’un et lui dire : « C’est bon ! Tu en as assez ». Ce travail d’observation et d’ajustement de l’instructeur est rendu possible grâce à sa très grande expérience dans les arts martiaux. N’importe quel instructeur, le moindrement compétent, est capable de faire sortir les tripes de n’importe qui en moins de 5 minutes. Le plus difficile, en revanche, est d’amener le groupe et chacun d’entre eux à se dépasser, en n’oubliant pas qu’après le cours, chacun a une vie et doit être fonctionnel. À quoi bon si la personne n’est plus capable de monter ou descendre les marches pendant 3 jours. Un jour à deux jours est suffisant.

Troisième partie :
Récupération et assouplissement

Enfin, nous terminons le cours par une séance d’étirements afin de récupérer et de permettre au corps et à notre mental de retourner au calme (cold down). Des exercices de mobilité et de posture sont utilisés pour favoriser la récupération, bien sûr, mais aussi de développer la flexibilité fonctionnelle. Qu’est-ce que la flexibilité fonctionnelle ? Demander à un culturiste d’aller se gratter dans le dos, vous allez comprendre.

Cette méthode d’entraînement, techniques de kickboxing jumelés à des exercices plus ou moins intenses, fait que chaque cours est différent. Bien que certaines techniques difficiles puissent être pratiquées pendant quelques cours, l’instructeur s’assure toujours d’amener un élément de nouveauté.

Deuxième partie :
Techniques et torture!

– La partie Technique

Travail des pieds et/ou pieds sur sac de frappes, sur bouclier (coussin de frappe) ou sur focus cloves (gants de précision), travail d’esquives ou de blocages 2×2, différents déplacements de combat avec enchaînements, etc. Une fois que l’instructeur a donné les explications, on s’exécute. Un temps (round) est déterminé : 1 min, 2 min, etc. Et, go! Durant ce temps, l’instructeur circule pour corriger la technique de chacun et apporter, s’il y a lieu, des ajustements. En général, deux techniques différentes sont travaillées durant cette partie du cours. Voici quelques exemples. On peut se concentrer sur une technique particulière, comme le jab ou le front kick de la jambe avant. Soit travailler une combinaison 2×2 : wave (esquive) sur attaque de crochet, suivit d’une contre-attaque : crochet + coup de genou. Ou encore exécuter un déplacement : jab, pas chassé + coup de pied circulaire de la jambe devant.

En plus de bien démontrer et expliquer la technique, l’instructeur s’assure toujours de faire le lien avec la réalité, appliquer la technique en situation réel, face à un agresseur ou un adversaire.

C’est justement grâce à l’entendu des techniques et des combinaisons possibles en kickboxing qui fait que nos cours ne sont jamais répétitifs et ennuyants. Tout en s’entraînant, nous développons nos moyens de défense, nous améliorons notre coordination, notre concentration, etc. Apprendre en s’entraînant. Quoi de mieux! Nous sommes loin des gestes répétitifs et ennuyeux que nous voyons dans les gym.

 

C’est justement grâce à l’entendu des techniques et des combinaisons possibles en kickboxing qui fait que nos cours ne sont jamais répétitifs et ennuyants. Tout en s’entraînant, nous développons nos moyens de defense, nous améliorons notre coordination, notre concentration, etc. Apprendre en s’entraînant. Quoi de mieux! Nous sommes loin des gestes répétitifs et ennuyeux que nous voyons dans les gym.

La torture : les intervalles fractionnés

Tout au long de l’entraînement au kickboxing, des pauses sont insérées ici et là. Lorsque nous changeons de jambes ou de partenaire, par exemple, à la fin d’un round. Ou lorsque le professeur juge que l’intensité du cours descend trop. Quoi? Et oui, nous parlons de pause, non dans le sens d’aller boire de l’eau, mais plutôt dans le sens « c’est le temps d’ouvrir la machine! ». Interval training, body weights, sprints de séries de punchs ou de kicks, abdo/core, exercices de mobilité et de résistance, etc. Bref, il n’y a de limite que l’imagination de l’instructeur. Le niveau d’intensité varie selon ce qui est demandé et, évidemment, chacun y va à son rythme et fait ce qu’il peut. Le travail de l’instructeur ici est de s’ajuster selon le feed-back du groupe pour que tous aient le sentiment de s’être dépassés. Il n’est pas rare aussi de voir l’instructeur taper sur l’épaule de quelqu’un et lui dire : « C’est bon ! Tu en as assez ». Ce travail d’observation et d’ajustement de l’instructeur est rendu possible grâce à sa très grande expérience dans les arts martiaux. N’importe quel instructeur, le moindrement compétent, est capable de faire sortir les tripes de n’importe qui en moins de 5 minutes. Le plus difficile, en revanche, est d’amener le groupe et chacun d’entre eux à se dépasser, en n’oubliant pas qu’après le cours, chacun a une vie et doit être fonctionnel. À quoi bon si la personne n’est plus capable de monter ou descendre les marches pendant 3 jours. Un jour à deux jours est suffisant.

Troisième partie :
Récupération et assouplissement

 Enfin, nous terminons le cours par une séance d’étirements afin de récupérer et de permettre au corps et à notre mental de retourner au calme (cold down). Des exercices de mobilité et de posture sont utilisés pour favoriser la récupération, bien sûr, mais aussi de développer la flexibilité fonctionnelle. Qu’est-ce que la flexibilité fonctionnelle ? Demander à un culturiste d’aller se gratter dans le dos, vous allez comprendre.

Cette méthode d’entraînement, techniques de kickboxing jumelés à des exercices plus ou moins intenses, fait que chaque cours est différent. Bien que certaines techniques difficiles puissent être pratiquées pendant quelques cours, l’instructeur s’assure toujours d’amener un élément de nouveauté.

Sparing

Voici le mot qui en fait reculer plus d’un : Sparring, que nous pouvons traduire par combats légers. L’important ici ce n’est pas le mot « combat », mais bien le mot « léger ». Léger, dans le sens de doucement, en contrôle et avec respect. Pour être plus précis, le sparring est un échange deux par deux, de techniques de frappe, de blocage et d’esquive. Enfin de compte, c’est l’application des techniques apprises que nous devons exécuter non comme un automate, mais en réaction face à un partenaire. Bruce Lee disait cette jolie phrase pour justifier la pratique du sparring : « on n’apprend pas à nager en restant sur le quai, on doit parfois se jeter à l’eau. »

Dans les cours, le sparring que nous pratiquons ne permet aucune attaque à la figure. Seuls les plus expérimentés, avec leur consentement, sont autorisés. Nous laissons aussi toujours le choix aux membres de faire du sparring sur le sac de frappes afin de mieux se familiariser. Nous tenons à le répéter, le sparring est un échange léger et contrôlé.

Parfois, il peut y avoir des échanges déterminés et contrôlés afin de pratiquer les esquives et les blocages.

Vous pouvez faire un cours d’essai en tout temps.
C’est la meilleure façon de savoir si le kickboxing est pour vous.

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